•  

    un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************


    c'est la période où jamais de penser à eux :http://www.planetevegetal.com/RC/images/RestaurantCoeurv3_02.jpg

    cliquer sur l'image ci dessus


    26 commentaires
  • le vernissage était samedi 4, ratééé !!

    mais bon vous pouvez toujours aller faire un petit tour

    à la Galerie Absoluty, Paris 10ème

    Lumière de l'atelier y expose

    ses luminaires déjantés

    lumiere.JPG


    14 commentaires
  • un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    Avant toute chose merci à toutes celles qui jour après jour votent pour moi.

    neige.jpg Voilà la route devant chez nous, les seules traces :

    ma voiture et les pattes de la toutoune !!

    le noir sur la route, ce n'est pas la neige qui fond,

    mais l'herbe qui avait poussé

    (ben voui c'est super fréquenté devant chez moi ! )

    neige2.jpg

    Et toujours les piafs


    30 commentaires
  •  

    un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    Il y a bien longtemps l’Hiver venait sur le monde partout en même temps, du Nord au Sud. Quand venait le temps de la froidure, la glace s’abattait sur le monde, et tout s’endormait, hibernait, les hommes comme les marmottes, les girafes comme les ours. Ensuite les beaux jours venaient et le monde s’éveillait pour vivre un beau printemps, un été lumineux  et un automne chaleureux. Mais la Glace en eut assez. Descendre à la fin de l’automne, puis fondre aux beaux jours et recommencer, année après année voilà qui la mettait en colère.

     

    Aussi, lorsque vint la fin de l’automne avant  l’Hiver, que la Glace se fut formée dans le ciel, prête à s’abattre sur le sol, elle décida de rester là-haut : plus près des étoiles, au dessus des vents, loin de la boue. Et voilà que le monde fut privé de soleil car la glace le cachait, plus de lune non plus et pas moyen d’hiberner la glace n’offrait plus sa blanche couverture. Les hommes, malheureux se terraient dans les huttes tentant misérablement de se chauffer auprès de leurs feux. Tout dépérissait. Les animaux enrageaient.  Mais que faire ?

     

    Alors ils se réunirent, parlèrent beaucoup. L’éléphant dit :

    « J’ai essayé avec ma trompe de casser le toit de glace, mais malgré ma force, je ne peux atteindre la glace.

    La girafe ajouta :

    « J’ai un long cou, mais je n’atteins pas la glace non plus.

    Alors la girafe monta sur le dos de l’éléphant, mais cela ne suffisait pas. Le kangourou sauta et sauta encore, mais là non plus ce n’était pas assez. Alors il monta sur le dos de la girafe, sur le dos de l’éléphant, et sauta, mais cela ne suffisait pas.

    L’aigle arriva et dit :

    « Je vais monter très haut et à coups de bec j’attaquerai la glace. 

    Il monta, monta si haut qu’il put mais cela n’était pas assez, il y perdait ses forces. Alors l’hirondelle monta sur le dos de l’aigle qui monta le plus haut possible et là l’hirondelle s’envola, mais cela n’était pas assez, alors l’oiseau mouche monta sur le dos de l’hirondelle, sur le dos de l’aigle mais cela ne suffit pas.

     

    Les animaux commençaient à se dire que tout était perdu, lorsqu’on vit arriver de tous les points cardinaux des cohortes de fourmis, des petites, des grosses, des rousses, des brunes, des rouges, des blanches, des guerrières et des pacifiques. L’on eut dit que le sol lui-même était en marche. Elles venaient oubliant leurs guerres et leurs querelles, les clans ennemis se côtoyant.  Les plus grosses fourmis se serrèrent les unes contre les autres, créant une plate forme. Les animaux riaient, comment de si petites choses auraient pu réussir là où les autres échouaient. Malgré tout, parce que c’était la trêve, le fourmilier ne dégusta pas ces renforts dérisoires et les oiseaux gardèrent leurs becs fermés. Pendant ce temps, les fourmis indifférentes aux moqueries continuèrent leur œuvre. Un second niveau de fourmis monta sur le premier, puis encore un autre et encore, malgré tout, cela était bien peu, même pas une hauteur d’ongle d ‘éléphant. Mais les fourmis arrivaient toujours par milliers, millions, milliards. Et la pyramide montait, montait, à hauteur de genou de girafe, d’épaule,  de tête de kangourou sur le dos de la girafe, sur le dos de l’éléphant, puis à hauteur de vol d’aigle, et les fourmis arrivaient toujours. Certaines fourmis volantes faisaient des va et viens portant quelques secours aux fourmis blessées ou affamées. Bientôt les fourmis volantes durent aussi rentrer dans la pyramide, celle-ci était plus haute que n’avait pu aller l’oiseau mouche sur le dos de l’hirondelle, sur le dos de l’aigle. Puis les plus petites fourmis vinrent, minuscules mais vaillantes elles escaladaient la pyramide se rapprochant de plus en plus de la glace. En bas les autres animaux avaient cessé de ricaner et se demandait si cela suffirait et si c’était le cas comment les petites fourmis pourraient vaincre la glace.  Hélas, hélas, bien près de la glace, plus de fourmis, il manquait encore quelques hauteurs. Tout le monde se désolait et les fourmis commençaient à se dire qu’il allait falloir abandonner, lorsque venu d’en haut un petit cri, minuscule puis repris par une dizaine de minuscules bouches de fourmis, puis des milliers, des millions, des milliards :

    « Fourmis à l’horizon »

     

    Venues de l’autre bout du monde ayant marché sans jamais s’arrêter, venaient les fourmis à tête bleue, les plus timides de toutes les fourmis, vivant recluses au fond des cavernes. Malgré tout elles avaient entendu la rumeur. Une pyramide, la plus grande des pyramides, faite par des fourmis. Alors elles étaient venues. Malgré la fatigue, la faim et les blessures, elles escaladèrent les fourmis rouges, les noires, les blanches, les rousses. Et tout le monde acclamait les fourmis. Redressant leurs antennes, elles reprirent l’escalade. Et bientôt elles atteignirent le toit de glace. La plus petite et la plus frêle commença à coups de mâchoire, et découpa avec ses petites pattes une prise pour s‘installer, puis une autre vint et une autre Une araignée fila une longue cordelette que l‘on achemina à dos de fourmi et bientôt une corde pendit au toit de glace par laquelle les fourmis bleues se hissèrent creusant un tunnel à travers la glace.

     

    Les fourmis bleues se précipitaient le long de la corde, envahissaient le tunnel, se répandaient sur la glace. Mais en bas la pyramide commençait à vaciller. Les fourmis se sentaient écrasées, elles mouraient de faim, avaient mal au dos, aux jambes, bref petit à petit l’édifice chancelait, s’effondrait, et bien sûr, s’écroula. Seules les fourmis bleues avaient pu se rendre là-haut. Mais que pouvaient-elles faire, minuscules seules, face à cette montagne de glace. Déjà l’on parlait de recommencer en mettant en bas des scarabées, des araignées. Et certains hurlaient

    « Hé ho, là-haut, vous allez bien ?

    C’est alors que levant la tête pour voir les fourmis ils reçurent de drôles de petits morceaux de glace touts légers dans les yeux. Les fourmis continuaient sans désemparer là-haut, si haut. Et les morceaux chutaient vers le sol. Pour la première fois de l’histoire de la terre : il neigeait.

     

    Bientôt l’on vit des trouées dans la glace, et les flocons chutaient, chutaient, et l’on voyait le soleil. Les animaux se réjouirent. La plupart rentrèrent chez eux, mais ne purent hiberner la glace n’était plus la même. Depuis ce temps là, seuls les animaux restés à attendre les petites fourmis à tête bleue  pour les accueillir si elles redescendaient continuent à hiberner l’hiver.

     

    Et les fourmis bleues ? Elles restèrent près du soleil,  continuant à ronger le toit de glace, et parce qu’elles sont petites elles mettent toute l’année à faire le tour du ciel c’est pour cela que l’hiver n’arrive pas partout en même temps. Et quand elles ont fini leur cycle, elles recommencent. Elles se nourrissent du pollen porté par le vent, des rayons de soleil  et de la lumière de la lune. C’est ainsi qu’il n’y a plus de fourmis à tête bleue sur terre. Elles sont en haut, et quand tombe la neige, dites vous que ce sont leurs petites pattes et leurs petites bouches qui s’activent.

     

     


    40 commentaires
  •  

    un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    neige-02_2012-01.jpg

    neige-02_2012.jpg

    Brume, neige et drôle de lumière, les piafs viennent au restau, je vais devoir les réapprovisionner demain encore


    30 commentaires
  •  

    un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    rubans

    +

    Sans-titre2.png

    =

    poupee--robe-rubans.JPG

    poupee--robe-rubans3.JPG

    si le tuto vous intéresse, dites-le je le préparerai.


    42 commentaires
  • un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    en-cours-05.jpg Ben voilà j'ai dû défaire une partie du morceau de droite,

    alors du coup j'ai attaqué l'autre bout.

    J'avance un peu


    20 commentaires
  •  

    un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    bon réponse rapide cette fois-ci :

     

    papier alu

    Alorsse ????


    72 commentaires
  • un petit vote ?

    pastille-concours-blog-creatif.gif

    ***********************************

    Saint-valentin-2b.png Un coeur pour la Saint Valentin


    34 commentaires
  •  

    Chez Margaux 33 :

     

    Gribouille n'est pas rentré depuis quatre jours .

     

    http://ekladata.com/xcozTHBI-q4cE_5N_YPh7aD_mRo.jpg

     

    Gribouille est le chat de ma cousine . elle habite dans les Vosges, vers Lépange sur Vologne .

     elle a alerté tous les voisins mis des pancartes partout ,alerté les refuges la SPA .

     

    elle l'appelle tous les jours

     

    Elle se désespère .

    si vous pouvez relayer, merci beaucoup

     

    margaux33

     

     


    26 commentaires