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    07poupee01.JPG Abréviations :

    Aug : augmentation = 2 mailles dans la maille du rang inférieur

    Dim : Diminution 2 mailles du rang inférieur crochetées ensemble

    Ch. : Chacune ou chaque

    Rg : Rang

    Inf. : Inférieur

    Suiv : Suivant (es)

    Ms. : Maille serrée

    Chaque fois qu’il sera mentionné un ms, ou une aug., il s’agira bien sûr d’une maille serrée faite sur la maille serrée du rg inférieur (exemple 4 ms = 1 maille serrée sur chacune des 4 mailles serrées du rang inférieur, 4 aug. = 1 augmentation sur chacune des 4 ms du rg inf) Et une dim est faite sur les 2 ms du rang inférieur.

     

    TÊTE

    01er  rang : dans un cercle faire  6ms

    02ème rang : 1 aug. sur chaque ms => 12 ms

    03ème rang : 1 aug., 1 ms sur la ms suiv., 1 aug etc … => 18 ms

    04ème rang : 2 ms, 1 aug., 2 ms, 1 aug., 2ms etc … => 24 ms

    05ème rang : 1 aug., 3 ms, 1 aug., 3 ms , etc … => 30 ms

    06ème rang : 3 ms, 1 aug., 4 ms, 1 aug., 4 ms etc … => 36 ms

    07ème rang : 1 aug., 5 ms, 1 aug., 5 ms , etc … => 42 ms

    08ème rang : 3 ms, 1 aug., 6 ms, 1 aug., 6 ms etc … => 48 ms

    09ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    10ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    11ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    12ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    13ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    14ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    15ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    16ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    17ème rang : 1 ms sur ch. du rg inf => 48 ms

    18ème rang : 3ms, 1 dim., 6 ms, 1 dim., 6 ms etc … => 42 ms

    19ème rang : 1 dim., 5 ms, 1 dim., 5 ms , etc … => 36

    20ème rang : 3 ms, 1 dim., 4 ms, 1 dim., 4 ms etc … => 30

    21ème rang : rien que des diminutions => 15

    COU

    22ème rang : 15 ms

    23ème rang : 15 ms

    24ème rang : 15 ms

    25ème rang : 15 ms

    Rembourrer la tête

    CORPS

    Attention l’avant et l’arrière n’ont pas le même nbre de mailles, donc n’oubliez pas votre petit bout de fil pour marquer le début du rang. On dira que le début du rang correspond au milieu du dos.

     

    26ème rang : 2 ms, 4 aug., 4 ms, 4 aug., 1 ms  => 23 ms

    27ème rang : 4 ms, 4 aug., 8 ms, 4 aug., 3 ms => 31 ms

    28ème rang : 7ms, 2 aug., 14 ms, 2 aug., 6 ms => 35 ms

    29ème rang : 8ms, 2 aug., 16 ms, 2 aug., 7 ms => 39 ms

    30ème rang : 9ms, 2 aug., 18 ms, 2 aug., 8 ms => 43 ms

    31ème rang : 10ms, 2 aug., 20 ms, 2 aug., 9 ms => 47 ms

    32ème rang : 11ms, 2 aug., 22 ms, 2 aug., 10 ms => 51 ms

    33ème rang : 7ms, sauter 13 ms, piquer dans la 14ème, 13 ms, sauter 13 ms, , 5 ms => 25 ms

    34ème rang : 25 ms

    35ème rang : 25 ms

    36ème rang : 25 ms

    37ème rang : 25 ms

    38ème rang : 1ms, 1 dim., 4 ms, 1 dim., 4ms, 1 dim, 5 ms, 1 dim., 3ms => 21 ms

    39ème rang : 1ms, 1 aug., 4ms, 1 aug., 4ms, 1 aug., 5ms, 1 aug., 3ms => 25 ms

    40ème rang : 6 ms, 1 aug., 12 ms, 1 aug.,5 ms =>27 ms

    41ème rang : 27 ms

     

    JAMBES

    Rembourrer le corps

    On est au milieu du dos et on va attaquer la jambe droite.

    42ème rang : sauter 13 mailles, piquer dans la 14ème, 13 ms

    14 rangs à 13 ms

    57ème rang : ½ tour, 6 ms,

    58ème rang : ½ tour, 6 ms,

    59ème tour : rien que des diminutions + 1 maille=> 6

    60ème tour : 6 ms

    61ème 3 dim

    Rembourrer la jambe

    62ème tout rabattre couper le fil

     

    On est au milieu du dos et on va attaquer la jambe droite.

    42ème rang : 13 ms sur les mailles libres

    14 rangs à 13 ms

    57ème rang : ½ tour, 6 ms,

    58ème rang : ½ tour, 6 ms,

    59ème tour : rien que des diminutions + 1 maille=> 6

    60ème tour : 6 ms

    61ème 3 dim

    Rembourrer la jambe

    Faites bien attention que le talon se trouve à l’arrière, sinon cela veut dire que vous êtes reparti dans le mauvais sens. Inutile de défaire la jambe, il suffit de revenir au premier rang à 6 mailles, le défaire et refaire 6 mailles serrées SANS faire le premier ½ tour, puis continuer normalement.

    62ème tout rabattre.

     

    LES BRAS

    Sur les mailles restées libres faire 12 mailles, en laisser 1 libre pour l’aisance., faire 8 tours à 12 ms.

    Puis répartir 4 augmentations en faisant une chaînette de 4 mailles libres, sur le dessus du bras (pouce) positionnez le à l’endroit que vous préférez, en bas, ou avant, mais arrière ce serait quand même bizarre).

    Faire des diminutions jusqu’à n’avoir que 4 ms, rembourrer. Tout rabattre.

    Même chose pour l’autre bras, en veillant à avoir des pouces symétriques.

     

    Coudre 2 boutons ou broder les yeux.

    Broder un trait horizontal pour la bouche.

     

    Suite aux prochains épisodes pour les cheveux (2/3)  et la robe (3/3) ....

     

     


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    Lorsque le petit Poucet décida de s’installer ayant acheté des charges pour lui et ses frères, il se maria fort bien. Une belle demoiselle du pays agréant sa demande, le roi lui accorda le titre de baron. Petit titre et petite noblesse. Mais la famille prospéra et de génération en génération les biens s’accumulèrent et toujours les bottes de sept lieues restèrent comme un bien précieux dont on ne se servait qu‘en période de danger pour le royaume afin de vite porter des nouvelles d‘un champ de bataille à un autre. L’arrière arrière arrière petit fils du Poucet épousa la fille d’un petit comte. Et celle-ci aussi charmante et étourdie qu’il est possible de l’être donna jour à deux enfants. Une belle enfant, Vanessa, à l’image de sa mère et un tout petit garçon portrait vivant de son aïeul que l‘on appela bien sûr : Poucet. Les enfants grandirent, l’une beaucoup plus que l’un en taille, mais l’un beaucoup plus que l’une en sagesse.

     

    Lorsque la belle enfant eut 16 ans elle s’amouracha d’un bellâtre, titré mais ruiné. La famille de celui-ci consentit à contre cœur à ce mariage à la seule condition que les bottes de sept lieues fussent comprises dans la dot. Les parents commencèrent par refuser mais Vanessa se mit à dépérir, refusant de s’alimenter. Les temps étaient calmes, depuis longtemps la guerre ne grondait plus aux portes du royaume, lors les bottes avaient perdu de leur importance aux yeux de beaucoup. La raison pour laquelle la future belle famille réclamait ces bottes était purement financière. Ils comptaient bien se servir des bottes pour créer des liaisons entre les comptoirs commerciaux dans les royaumes voisins. Poucet n’était pas content, c’était là un bien de famille qui devait rester au service du roi, tout sacrifier aux caprices d’une enfant le mettait en colère. Et il fut encore plus furieux  lorsqu’il apprit que la future belle famille voulait que toute la dot, y compris les bottes soit exposée dans la salle d’honneur de leur château, et que tout le monde soit invité à admirer et envier les brocards, les joyaux et les célèbres Bottes.

     

    Le lendemain du troisième jour d’exposition la dame de compagnie, totalement affolée réveilla le château par ses hurlements. Les Bottes, les célèbres bottes avaient disparu. Elles et rien d’autre.

     

    Le Roi apprit cela, et lui savait bien l’importance que les Bottes pouvaient avoir. Il se mit dans une colère folle. Comment ses ministres avaient laissé faire cela ? Permettre que les Bottes soient laissées ainsi exposées ? Fallait-il qu’ils soient ramollis par la bonne chère et aveuglés par les réceptions données en l’honneur de ce mariage. Aussitôt il dépêcha ses meilleurs espions, ses diplomates, et tous les aventuriers du royaume à la recherche des Bottes. Las, rien n’y faisait. Pis, le royaume voisin ayant appris que le Roi avait perdu son moyen de communiquer à distance avec tous ses généraux déclara la guerre au Royaume. Bientôt les choses empirèrent, l’on apprit que le royaume ennemi recevait l’aide d’un porteur de Bottes magiques.

     

    Poucet se rendit au château, où malgré le courroux du Roi à l’égard de sa famille, il fut reçu rapidement. Tout le monde savait bien à quel point Poucet s’était opposé à cette folie. Bien vite le Roi désespéré devant la tournure prise par les évènements se mit d’accord avec Poucet. Si celui-ci ramenait les Bottes, il en deviendrait le légitime propriétaire, décidant à qui elles seraient léguées et son successeur après lui décidant à son tour, et ainsi de suite. De façon que nul jeu de politique ou qu’aucun caprice de fillette puisse de nouveau mettre en péril le bien du royaume. Les ministres crièrent bien fort qu’on ne devait à aucun prix laisser cette famille revenir en possession de ce bien. Et chacun de dire que le ministre de la guerre, non des finances, non le grand ministre, non celui des découvertes, non … devait en être dépositaire. Le Roi se mit à hurler que s’ils voulaient les Bottes ils n’avaient qu’à aller les chercher. Mais aucun ne se proposa.

     

    Poucet prit toute la nuit pour réfléchir. Il était évident que le Porteur de Bottes, peut-être bien le voleur en personne d’ailleurs, devait se rendre du front le plus exposé au campement du roi adverse. Et pour cela un seul passage : la forêt Bleue. Endroit que sa famille connaissait bien, puisque c’est là que leur célèbre ancêtre avait vécu son histoire. Il prépara son balluchon, léger juste de quoi chasser, une gourde et un poignard et pour faire plaisir à sa mère du fil et une aiguille

    «Mais pourquoi mère ?

    « Ah si tu réussis et que tu reviennes te présenter devant le Roi avec les Bottes, te montreras-tu tout dépenaillé et décousu, tu sais bien comment toujours tu déchires tes braies. »

    De guère lasse il avait accepté.

     

     Au petit matin il partit. Trois jours après il arrivait au cœur de la forêt, il se jucha sur le plus haut cèdre et attendit, deux jours, deux nuits. La pluie l’abreuvait, et il pillait les nids des oiseaux pour se nourrir. Au matin du troisième jour il se réveilla et se rendit compte qu’à l’ouest de son arbre un homme enveloppé dans une vaste houppelande s’était assoupi au pied d’un grand chêne, chaussé par les Bottes tant désirées. N’en revenant pas de sa bonne fortune Poucet se hâta, sans bruit, de descendre, mais au pied de cette montagne d’homme il eut un moment de peur. N’écoutant que son désespoir il se saisit de sa besace espérant par quelque miracle y trouver une arme magique. Rien, un poignard dérisoire face à ce monstre qui faisait bien deux fois sa taille, et une aiguille, que faire d’une aiguille ? Mais bien vite, il se mit à l’ouvrage tout en douceur, il avait à peine fini, mettant le dernier point à son ouvrage que l’homme se réveillait. Voulant s’étirer, il ne le put. Poucet avait cousu et bien cousu la houppelande autour du corps de l’ogre, ou plutôt l’ogrillon, trop petit qu’il était pour avoir le droit de s’appeler ogre. Et la houppelande l’enserrait de toute part empêchant quelque mouvement que ce soit.

     

    L’ogrillon se débattait furieusement en braillant nombres injures incompréhensibles, sautant sur place, tant et tant que le capuchon tomba dévoilant le visage d’une très jolie ogrillonne. Poucet assis sur une racine ne se lassait pas de l’admirer. Au bout d’un moment elle se calma et accepta de discuter. Elle s’appelait Sashaëne, était une naine chez les ogres, mal aimée et rejetée elle avait cherché moyen de gagner sa vie chez les hommes et avait imaginé de voler les Bottes afin de vendre ses services. Poucet eut l’idée, la meilleure de sa vie, de lui proposer le mariage, acceptant de la libérer si elle lui promettait sa main et jurait de lui donner les Bottes. Elle commença par refuser. Que faire d’un si petit homme disait-elle, mais plus elle réfléchissait, plus elle se disait :

    «Si je reviens avec les Bottes et avec Poucet qui connaît le Roi et dont la famille a un beau château, je serai bien. Puis il a l’air gentil ce petit homme, et il ne me fera jamais de mal. »

    Et plus elle le regardait, plus elle lui trouvait de charme. A la fin du jour, elle était tout à fait contente de dire «oui». Certains mariages sont conclus avec beaucoup moins de chance de réussite que celui-là.

     

    Quand Poucet revint avec sa promise, il y eut des ricanements, mais le Roi était si content de pouvoir terminer la guerre à son avantage qu’il assista en personne au mariage. Et dès que quelqu’un ricanait, Sashaëne souriait de toutes ses dents, qu’elle avait nombreuses et solides. Et toujours les rires cessaient.

    Poucet et elle vécurent, tantôt heureux, tantôt non, eurent des enfants, mais pas trop, et tous leurs descendants furent grands, certains très grands.

     

    Mon histoire est terminée j’espère qu’elle vous a plu.

    Quoi ? Les ministres ? Ah, eux ! le roi décida qu’ils devaient se rendre utiles et on peut encore les voir balayer les cuisines et les écuries. Voilà un conte qui finit bien, n’est-ce pas ?

     

    J'oubliais Vanessa, elle se désespéra, son galant ne voulait plus d’elle, maintenant qu’elle n’apportait plus les Bottes. Et il avait trouvé une autre donzelle dont il avait ravagé le cœur. Mais elle ne désespéra pas longtemps, elle trouva un damoiseau tout aussi étourdi qu’elle, l’épousa et ils eurent une jolie couvée de linottes.


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    Pourquoi les acheter alors qu'il est est si facile de les préparer ?


    Préparer 8 jours à l'avance


    Préparation 1/4 d'h en tout.

    Temps 24 h repos + 7 jours.


    - magret de canard frais,
    - gros sel,
    - herbes  (thym, romarin, laurier sec, origan) hachées, facultatif, cela dépend de l'usage que vous ferez du magret : accompagnement de salades, plateau à grignoter ....,
    - un moule à cake dans lequel le magret rentrera en laissant qqs cms en longueur à chaque bout,
    - un torchon très propre (bouilli) et sec.

    Ébouillanter le moule, le laisser sécher à l'air libre, retourné. Essuyer le magret. Un magret par contenant, si vous en préparez plusieurs en même temps, un plat par magret, ou alors une bonne épaisseur de sel entre 2 magrets, qu'ils ne se touchent pas.

    Mettre une couche de sel au fond du plat, frotter le magret avec les herbes (facultatif), poser sur le sel. Faire bien attention qu'en aucun endroit le magret touche le plat ou soit à l'air libre. Mettre du sel tout autour et dessus. Tasser. Vérifier que le magret soit parfaitement recouvert de sel. Mettre au frigo. laisser reposer 24 h.

    Faire tomber le sel (ne le jetez pas, il peut servir à désherber). Laver le magret, inutile de gratter ou de laisser sous l'eau pendant longtemps. Essuyer soigneusement. Mettre sur le torchon propre et sec l'envelopper soigneusement (style emmailloter). Mettre au frais pour 7 jours. Se conserve qqs semaines, mais plus vous attendrez, plus il durcira. Le laisser toujours enveloppé dans son torchon.

    Se mange avec du melon, ou dans une salade verte avec cerneaux de noix, roquefort, gésiers, croutons,  en plateau avec de la charcuterie, en accompagnement de raclette etc ...


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    Tout droit inspiré par mon range pyjama d'enfant :

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    Découper les pièces indiquées sur le schéma en n‘oubliant pas de laisser 1 cm pour la couture.

    Les pièces en bleu sont celles découpées dans une jambe de jean. Voir photo (finalement l’oreille a été découpée dans le même tissu que la robe).

    Les pièces en rose, dans un T Shirt un peu épais pour faire molleton. Le col en gris marqué plastique est découpée dans une de ces pages en plastique rigide que l’on trouve sur certains dossiers. Sinon on peut se servir d’un morceau de plastique découpé dans une boîte à viennoiserie. Ce qui est en blanc : col et oreille dans un morceau de drap.

     

    07sourispieces.png

     

     


    Oreilles
    Piquer les oreilles :  molleton au dessus, puis tissu robe, envers vers le haut, puis tissu intérieur oreille, endroit vers le haut en fait : le molleton, puis les 2 pièces extérieures, endroit contre endroit). Piquer tout l’arrondi, retourner, former le pli creux, replier les bords de la base vers l’intérieur. Piquer.

    Tête
    Piquer la tête endroit contre endroit, cranter les arrondis rentrant. Ne pas piquer la base, retourner, bourrer « férocement ». Replier les bords de la base vers l’intérieur, repousser la garniture, piquer le fond, faire 2 coutures à ½ cm, ou 1 cm l’une de l’autre afin de faire une couture rigide.

    Les décos.
    Yeux : Découper les cils dans du thermocollant ou du polaire ou de la feutrine. Repasser pour coller, ou coller avec colle tissu.

    Oreilles : Positionner les oreilles comme sur la photo, style cocker, coudre à la main, retourner vers le haut, coudre à la main.

    07sourismontage.jpg


    Nez : Coudre un bouton noir de chaque côté de la pointe du nez. Mes boutons ne me plaisaient pas, trop brillants, gros trous, je les ai recouverts dans un bout de tissu noir.

    Queue : Dans une bande de jean (je me suis servie du tissu/couture de jean). Replier les bords vers l’intérieur de façon à faire une longue queue d’environ 40 cm de long. Pour éviter une couture qui ferait une grosse épaisseur au fond de la queue, effranger proprement le fond et laisser tel quel.

    Les pattes :

    Coudre 2pièces endroit contre endroit, mais pas la base. Retourner. Bourrer assez peu. Positionner les pattes en les épinglant sur le fond de la robe et les piquer ultérieurement en faisant la robe.

     

    Faire la robe.
    Replier le tissu de façon que les plis creux soient sur  les côtés, piquer la queue dans le repli formé, à environ 10 cm du fond. Piquer les côtés, 3 cm en haut, 5 cm en bas, laissant une fente pour rentrer le pyjama. Coudre le fond, de façon que la fente se trouve au milieu du dos Attention en positionnant les pattes à ne pas les piquer sur l'envers. Tout épingler et retourner pour vérifier que cela vous convient. Si oui, retourner et piquer.

    En haut passer 2 fils de faufile pour froncer le tissu à une dimension  légèrement inférieure au tour de cou. Replier celui -ci sur lui-même afin de le passer en force dans le haut de la robe. Si Ok, retirer la tête et  piquer les fronces.

    Enfiler le cou dans la robe. Au besoin mettre quelques points avec un fil costaud pour solidariser la robe et la tête.

    Le col.
    Plier le col en tissu en deux, le long du pointillé, repasser. Attention à bien repasser avant et pendant le travail, une fois le plastique en place, il ne sera plus question de repasser. Positionner le plastique , sur une face du col. Retourner l’ourlet sur le fond et les côtés du plastique, de façon à « prendre » la tranche du plastique dans l’ourlet. Marquer l’ourlet de l’autre face du col en l’écrasant avec l’ongle. Replier le col, retirer le plastique. Repasser en formant bien les ourlets. Mettre le plastique en place. Piquer à la machine. Sur le haut coller un ruban de couleur vive à nouer autour du cou.

    Ce col sert à cacher les fronces du haut. Vous pouvez mettre un petit foulard fait dans un mouchoir, un châle au crochet, une écharpe au tricot, bref, suivant votre fantaisie.

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